lundi 21 juin 2021

Le Qi Gong, gymnastique chinoise ? Bonne pour la santé et pour tous les âges ? par Gérard EDDE


C’est une question complexe. Si on entre dans le détail cela devient facile, mais sur le plan général c’est une question qui pour bien y répondre demanderait de nombreuses pages. Je vais prendre un exemple, on entend à la télévision que les carottes, c’est bon pour la santé, ce qui est vrai, mais si on mange trois kilos de carottes tous les jours ce ne sera pas bon pour la santé. Si on boit trois litres d’eau durant la journée, très vite on va tomber malade. De la même façon, on entend que le sport, c’est bon pour la santé, mais lorsqu’il s’agit de sport de haut niveau, qui exige du corps des efforts intensifs, on s’aperçoit que cela peut être préjudiciable à la santé. En fait il en est de même pour tout et donc aussi pour le Qi Gong. Tout cela ne signifie pas que les carottes, l’eau, le sport ou le Qi Gong sont mauvais pour la santé, ce serait faux de penser ça.

Bien sûr que pratiquer le Qi Gong est bon pour la santé. Selon les statistiques, en Chine, au niveau le plus bas, la plupart des gens le pratiquent pour la santé, car ce qu’ils attendent avant tout du Qi Gong c’est une bonne santé et une bonne longévité ; acquérir une bonne longévité est très important en Chine et le Qi Gong est réputé là-bas pour permettre d’allonger la longévité.

En ce qui concerne les aspects spirituels, le renforcement de l’esprit, les capacités martiales… ce ne sont que des bonus, le point principal du Qi Gong c’est la santé. Vivre plus longtemps en meilleure forme, c’est la base de la définition du Qi Gong.

Le mot Qi Gong a été utilisé pour la première fois par les communistes à l’occasion de l’inauguration d’un sanatorium dans le Nord de la Chine en 1957. Dans cet établissement, le Qi Gong devait être pratiqué afin de guérir les malades atteints de maladies graves dites incurables. Ne voulant pas employer les mots anciens comme Dao yin, les autorités ont voulu utiliser un mot nouveau et ont choisi le mot Qi Gong qui n’avait pas été employé depuis 2000 ans et le but était vraiment de mettre en place une pratique pour la santé.

Il peut y avoir dans le Qi Gong des déviations du Qi qui sont dues principalement à des excès de quelque chose. En général c’est plutôt dû à des excès qu’à des manques. Une personne qui fait 10 minutes de Qi Gong par jour ne risque pas une déviation. Ceux qui risquent ces déviations sont ceux qui en font beaucoup, un peu comme le sportif de haut niveau risque de se froisser un muscle s’il le fait mal, c’est exactement la même chose. Les déviations concernent principalement les gens qui forcent, qui veulent aller trop vite et qui veulent des résultats.

On ne peut pas dire que le Qi Gong soit toujours lié au lâcher prise, cela dépend des écoles. Si dans l’école taoïste c’est le Wu Ji, le non-vouloir, dans l’école bouddhiste, en particulier Shaolin, il y a une discipline parfois très difficile qui doit être commencée très tôt dans la vie, à l’adolescence ou jeune adulte. Le lâcher prise n’est valable que dans certains Qi Gong, pas tous. Dans les Qi Gong martiaux ce n’est pas du tout le cas, quand on s’entraîne à la pratique de la chemise de fer ou la main de fer par exemple, on ne peut pas parler de lâcher prise, il y a un but et il faut aller jusqu’au bout. Mais ça fait aussi partie du Qi Gong. 

Le Qi Gong n’existe pas, les Qi Gong existent, il y en a des milliers. C’est une idée vaguement communiste des années 60/70 qui incite tout le monde à faire la même chose, mais c’est faux, cela n’a jamais existé et heureusement cela n’existera jamais car nous sommes tous différents.

En ce qui concerne le terme de gymnastique, je citerai Georges Charles qui a répondu à cela il y a très longtemps. Le terme de gymnastique occidentale vient d’un suédois qui s’appelait Pehr Henrik Ling qui fut le père de la gymnastique « occidentale », non pas d’après les grecs, bien que le mot gymnastique soit grec, mais d’après les chinois, sous l’influence de son ami chinois Ming passionné d’art martiaux. D’ailleurs ce qui caractérisait la gymnastique grecque avait été perdu depuis longtemps. Cela signifierait que la gymnastique occidentale actuelle a été copiée sur un modèle chinois, il y a un siècle et demi à deux siècles. C’est pour cela que le terme « gymnastique » est un peu curieux, c’est un terme grec mais ce sont très certainement des mouvements chinois qui ont été un peu adaptés aux besoins de l’époque, avant le XXème siècle.

Ensuite cela a été repris en France par des mouvements de santé qui étaient principalement des mouvements socialistes pour le développement de la personne et aussi par les nazis en Allemagne (années trente). Cette gymnastique « suédoise » a été énormément reprise, dans le but d’éduquer le peuple ou, pour les nazis, de créer une race (sic) saine, comme les Grecs le disaient aussi.

Dans la gymnastique, il n’y a pas de dimension énergétique, certains parlent de gymnastique chinoise d’autres de yoga chinois, ce dernier terme serait plus près de la vérité étant donné la dimension énergétique du yoga.

La gymnastique chinoise existe mais ce n’est pas du Qi Gong.

L’image vieillotte du Qi Gong avec ses pratiquants en pyjama.

Derrière cette remarque péjorative se cache une certaine envie. Les professeurs d’arts martiaux vieillissants, vers 55 - 60 ans environ, se mettent quasiment tous à pratiquer et à enseigner des exercices énergétiques dits japonais, coréens, vietnamiens ou même chinois, qui correspondent au Qi Gong dont ils connaissent le potentiel. Les gens peuvent parler de « pratiquants en pyjama », se moquer, mais ils pratiquent des techniques issues du Qi Gong sachant parfaitement que c’est bon pour eux et pour leurs élèves lassés de l’art martial.

Cependant la pire chose à faire, et c’est une tendance actuelle, c’est de mélanger les disciplines.

Un proverbe tibétain dit :

« Le lait (de dri, femelle du yack) c’est bon,
la bière tibétaine (chang) c’est bon, mais les
deux mélangées, c’est infect. »

On peut tout mélanger avec du Qi Gong, on peut faire de la psy, on peut faire de la danse… Mais, à cause du cocktail, ce n’est pas obligatoirement bon.

Comment changer l’image,surtout chez les jeunes.

Il est difficile actuellement d’attirer les jeunes vers le Qi Gong, il y a 20 ans dans mes cours, j’en accueillais beaucoup. Actuellement ils semblent plus attirés par le yoga alors que certains cours de yoga allongent leurs pratiquants durant plus d’une heure, ce n’est donc pas l’image du pyjama qui bloque aujourd’hui mais plutôt un phénomène de mode.

Beaucoup de jeunes femmes enceintes se dirigent aussi vers le yoga à cause de la préparation à la naissance, elles peuvent y participer en compagnie de leur mari. Le yoga a très bonne presse à cause de cette préparation.

Il semble que la jeunesse d’aujourd’hui n’est pas comme celle d’il y a vingt ans, elle est très famille, ce qui n’était pas tout à fait le cas avant.

Certains changements de société font que le Qi Gong n’attire pas en ce moment, il est légitime de se demander pourquoi. La plupart des jeunes qui viennent pour s’inscrire à des cours nous disent : « Je veux faire du Tai Chi », nous leur disons : « Si vous voulez, mais si vous faites du Qi Gong avant vous serez bien meilleurs en Tai Chi que si vous faites du Tai Chi directement ».

Cela, ils ont du mal à le comprendre. Il n’est pas évident de changer l’image. Cependant pour y arriver nous avons plusieurs pistes. Je pense qu’il faut présenter le Qi Gong comme étant une pratique proche de la nature, proche du chamanisme ancien. Ce qui est vrai. 

L’évolution du Qi Gong en Chine.

Il faut bien dire que le communisme a fortement détérioré le Qi Gong. Le Qi Gong qui a été pratiqué ces trente dernières années est un Qi Gong fortement abîmé par rapport au Qi Gong du siècle passé. Beaucoup de l’essence du Qi Gong, bien au-delà de la dimension spirituelle, a été gommé au moment de la révolution culturelle.

J’étais en Chine dans les années 80/90 et je n’avais vraiment pas envie de faire du Qi Gong. Voir tous ces gens, 40 personnes ou plus, en train de faire le même geste, comme des robots, m’était pénible, ce n’était vraiment pas engageant.

Pratiquer ainsi, c’est être à l’inverse de l’idée taoïste disant que chaque personne est différente et doit exprimer l’énergie de façon différente.

Et là je vais être méchant, je pense qu’en France, beaucoup de professeurs de Qi Gong en général, sont entrés malheureusement dans le moule chinois du siècle dernier, un modèle hyper structuré, directif, j’allais dire dictatorial. Il n’y a rien de pire par exemple que d’écouter certains DVD sur les six sons ou les brocards avec une musique insupportable, une voix criarde, vous disant exactement ce que vous devez faire et à quel moment, c’est catastrophique et ça provoque des déviations. Je dirais que pour moi le Qi Gong moderne est une déviation. Pas le vrai. Le Qi Gong tel qu’il est pratiqué en Chine dans les monastères ou dans les villages, ça c’est authentique, mais celui enseigné dans les écoles et les Universités à Pékin, Shangaï, Canton, où l’on formate les élèves, et ça aussi c’est une déviation.

Par exemple, faire pratiquer la posture dite de l’arbre (sic).
Dans cette posture, les mains sont tournées vers soi et se situent au niveau du cœur cela, pour un débutant, c’est extrêmement dangereux car cela amène tout de suite le Qi à monter vers le cœur alors qu’au contraire, le débutant doit renforcer la base, c’est-à-dire le ventre, le dan tian inférieur. C’est ce que disent les taoïstes et ils sont sur ce point-là absolument en conflit avec le Qi Gong moderne : « On ne doit jamais faire pratiquer la posture de l’arbre à un débutant ».

Chez un débutant, le Qi ne doit pas monter tout de suite, il faut d’abord assurer le bas de la pagode, il faut que la structure soit forte solide, les jambes, le ventre. Donc l’arbre est une posture de deuxième niveau. Mettre les mains au niveau du cœur fait monter le Qi dans le cœur et les poumons. En médecine chinoise, le cœur c’est l’hystérie et les poumons la tristesse, et l’ensemble, hystérie contre tristesse, va provoquer la colère, donc nuire au foie qui est juste à côté, juste en dessous. En faisant pratiquer ainsi un débutant, on risque de faire monter chez lui des émotions négatives conflictuelles, un peu comme une vapeur. Bien évidemment on travaille encore moins la tête au début, sinon autant prendre de l’opium directement ! Ça ce sont de vraies déviations.

Une autre déviation très fréquente dans les Qi Gong modernes, c’est quand les gens mettent le Qi avec leur volonté, par exemple on leur dit « mettez le Qi dans le ventre » alors ils vont complètement se concentrer, se polariser à 100 % sur le ventre avec la pensée. Ça n’est pas du tout ça. Il faut ressentir le ventre et non pas, par la volonté, y amener quelque chose qui n’existe pas, une pure illusion, pratiquer ainsi est nocif.

On ne manipule pas le Qi, on coopère avec lui, si on ne coopère pas on a des effets négatifs. Le Qi c’est sérieux et profond comme la nature, ce n’est pas un sérieux intellectuel.

À cause d’une mauvaise traduction, les profs disent souvent « mettez le yi dans le ventre », non on ne dit pas le yi, on dit le Yi Zi, Yi (imagination) Zi ou Tse (la vision) ce qui signifie en fait le rêve. Si on met le rêve dans le ventre ça se passe très bien, si on met la volonté ça se passe mal.

Voilà pourquoi le travail des jambes est très important pour un débutant, car le Qi va monter des jambes.

Je crains que ma vision des choses ne soit en conflit avec beaucoup de professeurs en France.


Les principales causes des déviations et leurs remèdes.

Voici une liste des causes des déviations dans le Qi Gong :

- La posture arbre pratiquée prématurément

- Tenir les pieds parallèles ce n’est pas bon, fixer les genoux, les débutants doivent bouger les genoux

- La rigidité de la ceinture

- Pratiquer dans le vent, les courants d’air, l’air conditionné

- Pratiquer pendant la digestion

- Avoir une respiration insuffisante (avec la lenteur la respiration est souvent trop faible)

- Avoir trop de concentration

- L’attachement au Qi. Un proverbe chinois dit : « si on veut se saouler on prend du saké, on ne fait pas du Qi Gong »

- L’attachement au maître (chaque personne est différente, il faut faire attention et ne pas suivre le maître comme un idiot, c’est très important)

- Le fanatisme et le fondamentalisme dans le Qi Gong, que l’on trouve dans certaines écoles ; je le dis sans ambages, il faut faire attention

Le premier remède, en amont, c’est d’éviter de pratiquer les causes qui créent des déviations.

Lorsqu’elles sont là, des exercices spécifiques permettent d’y remédier.

Les Tigres jaunes et le Qi Gong forcé.

Dans les Qi Gong des arts martiaux il peut y avoir des déviations dangereuses, voire mortelles parfois, surtout dans l’école de Shaolin.

Chez certains maîtres anciens, que l’on appelait les « tigres jaunes » parce qu’ils avaient le teint très jaune du fait que l’énergie de leur foie attaquait la rate. En fait ils avaient trop pratiqué

avec la volonté, le désir de gagner et aussi avec la force de la colère. Certes ils étaient très puissants, avaient des résultats, mais ils mouraient entre 40 et 50 ans, en général de tumeur ou d’Accident Vasculaire Cérébral. Ces accidents étaient très courants dans le passé dans ce qu’on appelle le « Qi Gong forcé ».Il faut noter que plus on s’intéresse au Qi Gong plus il y a de risques et plus il faut être vigilant.

« Il y a toujours une montagne derrière la montagne »


Quand on ne se contente pas seulement donner des cours, mais quand on pratique aussi pour soi-même, on s’aperçoit qu’il y a toujours des obstacles à dépasser.

Comme on le dit en Chine :
« Il y a toujours une montagne derrière la montagne ».

Face aux obstacles, soit on recule, soit on trouve un moyen pour les dépasser, et ça c’est intéressant. On ne cesse d’apprendre, de chercher et de trouver.

Dompter le tigre et réveiller le dragon.

Pour les taoïstes, il existe trois niveaux de pratique :

- Cultiver le corps et rattraper l’hérédité, réclamer son héritage, c’est-à-dire prendre ce qui est bon dans l’hérédité et lâcher ce qui est mauvais. Cela signifie : profiter de la vie que nous ont donnée nos ancêtres sans en prendre les travers ;

- Calmer les cinq émotions conflictuelles de façon à purifier le Qi, ça c’est de l’alchimie, ce qui est grossier au départ, puissant mais grossier, on va essayer de l’affiner, déjà pour vivre mieux ;

- Voler dans le ciel, ne plus s’enraciner.

Toutefois, pour un jour s’envoler, il faut avoir eu une bonne base, une rampe de lancement parfaite et cette rampe c’est la base du débutant, le dan tian inférieur, le ventre.

Cela passe par l’acceptation d’une part de l’hérédité et le rejet de la partie dont on ne veut pas. Cela se dit : dompter le tigre et réveiller le dragon.

Si on pousse loin le Qi Gong c’est de l’alchimie, une transformation complète.

La question des déviations est intéressante. Les chinois ont écrit des livres entiers sur le sujet, mais hélas ces livres ne sont pas encore traduits.

La formation des professeurs.
Le sujet des déviations nécessiterait un week-end entier de formation pour en définir les causes et parler des remèdes à apporter quand elles apparaissent. Car il y a des remèdes autres que d’arrêter le Qi Gong.

Une déviation très classique, c’est l’exemple du stress de la personne qui se presse pour arriver au cours après son travail. À peine se trouve -t'elle dans une posture classique, tout de suite sa tête se met à tourner et elle tombe. Ce qu’il faut faire pour éviter cela, c’est tout simplement prévenir et conseiller de s’asseoir dès qu’apparaît le moindre symptôme du malaise (étourdissement, nausée). 

Faute d’être prévenues les personnes qui commencent à ressentir un malaise persistent à rester debout en pensant qu’elles doivent continuer. Ce trouble est le signe que le Qi fait son travail ce qui est bien et indique que ces personnes ont vraiment besoin de la pratique. Avec ces quelques précautions, on peut leur éviter le malaise.

Quelques exemples de précautions simples :

- Pour les cardiaques pas de mains au-dessus de la tête au début, après oui ;

- Ne pas manger avant le cours ;

- Ne pas prendre de boisson glacée avant le cours ;

- Ne pas venir au cours le ventre vide.

Quel Qi Gong pour qui ?

C’est un vaste sujet car les Qi Gong sont multiples et illimités en nombre. Classifier les Qi Gong selon les maladies, les chinois l’ont fait et l’on peut se référer à des travaux chinois traduits en anglais pour la plupart, tout cela existe.

Ce sont de gros ouvrages de 500/600 pages avec un index thérapeutique à la fin, préconisant quel Qi Gong est bon pour quelle maladie.

Cela est à la fois bien et pas bien.

Un professeur n’est pas sensé connaître tous les Qi Gong du monde, s’il les connaît tous c’est qu’il est mauvais en tous. Il a forcément une attirance pour une école particulière, soit bouddhiste, transformation des moelles, écoles taoïstes... Normalement chaque professeur doit avoir une panoplie de Qi Gong pour tout le monde, mais en même temps il n’est pas censé remplacer le médecin. Nous ne sommes pas là pour dispenser des cours spécifiques autour de telle ou telle maladie.

Cela ne peut pas fonctionner comme ça dans le cadre d’un cours collectif.

Pour conclure on peut dire que le Qi Gong c’est pratiquer des mouvements de santé basés sur la connaissance de l’énergétique chinoise en prenant quelques précautions avec les débutants.

Si le Qi Gong a réveillé une douleur ancienne, provoqué un vertige, un sentiment ou une émotion enfouie, c’est que la personne a besoin du Qi Gong.

Né en 1947, Gérard Edde s’est entièrement axé vers les méthodes naturelles de santé, surtout celles d’origine chinoise. De nombreux voyages professionnels en Asie du Sud-Est lui ont permis de découvrir l’ensemble des méthodes thérapeutiques orientales, tant par l’acupuncture que par l’alimentation naturelle, la phytothérapie et les exercices de santé. Il a complété sa formation avec plusieurs grands professeurs orientaux : les docteurs Vasant Lad et Trivédi pour l’Ayur-Veda, le docteur Lu pour la thérapie chinoise et le lama-médecin Trogawa Rimpoche pour la médecine tibétaine. Ces dernières années, il a également rencontré les plus grands chercheurs en médecine traditionnelle, tels le docteur Bhagwan Dash (Inde), le docteur Motoyama (Japon) et le docteur Wu Wei Ping (Chine).

Gérard Edde est diplômé du North American College of Chinese herbalism et du North American College of Chinese manipulative therapy (Vancouver), de la Chiansi University (Taiwan) et enseignant diplômé en Pratiques Thérapeutiques Taoïstes Quanzhen Longmen (Hong Kong). Au sein de plusieurs associations, il enseigne les thérapies orientales au public français, par des stages. Auteur de plusieurs ouvrages à succès, Gérard Edde s’applique à restituer ces enseignements orientaux millénaires d’une façon applicable en Occident, mais sans en perdre le contenu essentiel sous prétexte de « vulgarisation ».

École Dragon Céléste, www.dragonceleste.com

agrée par L’union Pro Qi Gong FEQGAE

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