Le
calendrier chinois porte plusieurs noms, les plus courants étant « calendrier des
Xia » xìalì (夏曆), « calendrier
agricole » nónglì (農曆), ou dans le langage
quotidien « calendrier lunaire » yīnlì (陰曆,
ou 阴历) qui est l'appellation
simplifiée du « calendrier luni-solaire ». Le calendrier officiel est appelé «
calendrier commun » (公曆 gōnglì), «
calendrier occidental » (西曆 xīlì),
ou dans le langage quotidien « calendrier solaire » yánglì (陽曆, ou 阳历).
Le calendrier solaire
Le « calendrier solaire» chinois date de la dynastie des
Xia (2205-1766 av.J.-C.).Le calendrier Xia, également connu
sous le nom de l’almanach du paysan, est basé sur le cycle du soleil et
notamment sur l’influence des quatre saisons. L'année solaire est une année
tropique vraie, qui s'étend d'un solstice d'hiver au suivant.
L’année, le cycle de rotation de la terre autour du soleil
ne dure pas une nombre entier de jours, mais 365 jours et 0.2422 jour, il faut
donc ajouter un jour tous les quatre ans si une année dure 365 jours pour
rester en accord avec le cycle du soleil.
Les saisons sont liées à la position de la terre dans sa
course autour du soleil. Elles sont ressenties sur une bonne partie du globe et
rythment de nombreux phénomènes naturels, c’est pourquoi les calendriers ont
souvent une composante solaire.
Le calendrier chinois comporte 12 segments qui
définissent de façon totalement régulière les mois solaires et permettent de se
situer dans l’année.
A l’époque, le paysan avait besoin de connaître les
changements du temps liés aux quatre saisons pour ses activités agricoles. C'est pourquoi l'année solaire a été divisée en 24 « Jie Qi » (« Jie » : nom du mois, « Qi » : énergie du climat ou « périodes solaires ».
Le
début de l’année solaire Suì utilisée par les astronomes et les
astrologues, commence donc à l’arrivée
du printemps, appelé Li Chun « Venue du Printemps », le 4 ou le 5 février de notre calendrier et non le
premier de l’année lunaire et s'étend jusqu'au printemps suivant. Le solaire
est normalement associé à tout ce qui se passe dans le ciel, donc aux arts
divinatoires comme le Ba Zi ou le I Ching utilisent ce calendrier solaire. La
lune s'intéresse à tout ce qui se passe sur terre, par exemple le Feng Shui. Toutefois on trouve quelques écoles qui
utilisent le calendrier lunaire pour le Ba Zi et le solaire pour le Feng Shui.
Le calendrier lunaire
L’aspect lunaire type plutôt ce qui
se passe au cours d’un mois, la lune projetant une quantité différente de
lumière sur terre en fonction de sa phase.
Le calendrier lunaire est basé sur la lunaison vraie ( Dìng Shuò 定朔) calculé sur le méridien
120° Est (UTC + 8h).
Les anciens, constatant les changements d’aspect de la lune
divisèrent chaque cycle lunaire en deux fois trois périodes : trois périodes
pendant lesquelles la lune croît et trois périodes pendant lesquelles elle
décroit. Ils représentèrent les différentes phases de la lune pendant ces six
périodes sous forme de trigrammes.
Le mois lunaire commence le jour de la nouvelle lune (lune
invisible) . Le 15ème ou 16 ème jour correspond à la pleine lune. L’année lunaire comporte 12 lunaisons
ordinaires de 29 (petits mois) ou 30 jours (grands mois). Afin de respecter la
durée, le cycle moyenne d’une lunaison de rotation de la lune autour de la terre, qui est de 29.53 jours, les
mois chinois durent soit 29 soit 30 jours (mais le cycle sidéral de la lune, qui est le temps que la lune met pour faire un tour sur elle-même par rapport aux étoiles fixes , est de 27,323 jours ). L’année durera donc soit 12 soit 13
mois pour être le plus près possible de la durée de la révolution de la terre
autour du soleil de 365.2422 jours. Les mois sont désignés
de 1 à 12 (ou 13). Une année lunaire de 12 mois sera appelé "année
lunaire commune", de 13 mois une "année lunaire embolismique" ou
"Bisextile" ( Rùn Nián闰年=).
le premier jour du mois est le jour qui contient l'instant
de la nouvelle lune Shuò朔. Comme
tous les autres jours, le premier jour de chaque mois commence à 23 heures
juste avant la nouvelle Lune, qui doit intervenir dans le jour
astronomique qui suit. Traditionnellement, la journée n'est pas découpée en 24
heures, mais en 12 tranches de 2 heures, correspondant chacune à une branche
terrestre. Le jour commence à minuit et
est divisé en 96 quartiers (1/4 d’heures) .
Les fêtes étaient
exclusivement fixées avec le calendrier lunaire. Comme le solstice d'hiver (21
décembre) tombe obligatoirement dans le 11ème mois lunaire (En effet à l’apogée du yin apparait le yang (Taiji)), le Nouvel An
chinois tombe entre le 21 janvier et le 20 février (inclus) et débute donc toujours lorsque le yang reprend le dessus sur le yin, période qui a commencé au solstice d’hiver.
Le calendrier luni-solaire Tai Chu / Tài Chū 太初
Le calendrier chinois est un calendrier luni-solaire,
c’est à dire qu’il cherche à suivre les cycles du soleil (saisons) et de la
lune. Il est la combinaison de deux calendriers, le calendrier solaire
(agricole) et le calendrier lunaire (civil).
L’association luni-solaire est ancienne, puisqu’on a retrouvé sur des écrits divinatoires de la dynastie Shang (environ 1570 à 1045 av. J.-C.) l’année de 12 mois lunaires avec 1 ou 2 mois intercalaires. C’est à partir de 841 av. J.-C. (Zhou occidentaux) que l’on a des indications calendaires précises. Le premier mois du calendrier Zhou commence toujours aux alentours du solstice d’hiver ; il n’y a pas de règle astronomique précise pour la place du mois intercalaire.
C’est vers cette période, en 484 av. J.-C., qu’apparaît un système comparable au cycle métonique (En astronomie et dans l’établissement des calendriers, le cycle de Méton ou cycle métonique est un commun multiple approximatif des périodes orbitales de la Terre et de la Lune) qui prévoit sept années dites embolismiques (contenant chacune un mois supplémentaire) réparties sur un cycle de 19 ans. En 256 av. J.-C., le royaume de Qin fixe le 11e mois au solstice d’hiver. Comme Qin fondera l’empire, ce principe sera repris par les Han pour le calendrier Taichu ou calendrier du « Grand commencement » (太初, tàichū instauré en 104 av. J.-C. par l’empereur Wudi. Bien qu’il subsiste d’autres calendriers spécialisés (astrologiques, astronomiques etc.), le calendrier Taichu devient la référence principale jusqu’au XXe siècle. Le solstice d’hiver y tombe toujours au 11e mois. Est considéré comme intercalaire le mois pendant lequel le Soleil n’entre pas dans un nouveau signe.
En raison des difficultés de calcul astronomique, les mouvements du Soleil et de la Lune sont tout d’abord des moyennes, et non les mouvements réels. C’est seulement en 619, sous les Tang, que la Lune réelle remplace la lune moyenne. L’utilisation du Soleil réel devient possible à partir de 1645 (dynastie Qing) grâce au calcul par sinusoïdes introduit par le Jésuite Adam Schall. (Source Wikipédia)
Les
règles définissant un calendrier à la fois solaire et lunaire ne sont pas simples du fait des différences entre les
cycles lunaires ( 354 jours, soit 29,5 jours x 12) et les cycles solaires (365
jours).
L’ensemble
des douze lunaisons de 29 ou 30 jours (pour respecter la durée moyenne d’une lunaison qui est de 29,53 jours) totalisant le plus souvent 354 jours, il manque une dizaine
de jours pour coïncider avec l’année solaire, qui elle dure 365,2522 jours. Afin de rattraper ce décalage,
l'année est ajustée environ tous les 3 ans avec un mois supplémentaire
intercalaire (闰月 Rùn
Yuè) sans jalon médian (La course annuelle du Soleil est divisée en 12 et
concrétisé par des jalons aux dates de son passage) pour maintenir le
calendrier chinois à la fois en rapport avec le Soleil et avec la Lune. L’année
lunaire compte alors 13 lunes. Comme on doit garder un nombre rond de mois, il
y a 7 années de 13 mois sur une période de 19 ans, ce qui revient à ajouter un
mois intercalaire une fois tous les deux ou trois ans. Grâce à ce système les équinoxes tombent toujours dans les 2ème et 8ème mois et les solstices dans les 5ème et 11ème mois de l’année lunaire.
Le
mois supplémentaire ne constitue pas un 13ème mois. Il est intercalé entre deux
autres mois, est simplement la répétition du mois qui le précède et en porte le même numéro et le même nom, mais est marqué comme
intercalaire et se place le plus souvent après les mois réguliers 3, 4, 5, 6 ou
7. Pour des considérations astrologiques, le système d’intercalation ne
s’applique pas entre le 12ème et le 1er mois, ni dans une période durant
laquelle le soleil passe d’un signe du zodiaque à un autre.
Cela
provient du fait que le Soleil se déplace plus rapidement sur l'écliptique
entre l'équinoxe d'automne et le solstice d'hiver et les étapes solaires sont
presque de la même longueur que les lunaisons. Certains astrologues affirment
même que le 11e mois lunaire, lui aussi, n'est jamais suivi d'un mois
intercalaire, pourtant exceptionnellement en 2033 le 11e mois devrait être
doublé par l’ajout d’un mois intercalaire. Le 8e mois régulier sera nommé «
faux mois intercalaire » (假閏月, jiǎ rùn yùe).
Les années du calendrier lunaire n'ont donc pas toutes le même nombre de
jours. Ainsi une année normale dure 353, 354 ou 355 jours, en fonction du
moment où se produit la nouvelle lune, et une année « bissextile » (avec un
mois intercalaire) dure 383, 384 ou 385 jours.
Suivant
ce système, les équinoxes de printemps et d'automne tombent toujours
respectivement dans le deuxième et le huitième mois de l'année chinoise. Et les
solstices d'été et d'hiver tombent toujours et respectivement dans le cinquième
et le onzième mois de l'année lunaire.
L'année
soli-lunaire ou lunaire appelée Nián est la période qui relie deux Nouvel An
chinois consécutifs.
Règles
pour établir le calendrier luni-solaire
Ø
Le
solstice d'hiver tombe toujours le 11ème mois lunaire.
Ø
Le
mois lunaire supplémentaires est celui qui ne contient pas de terme solaire
principal "Zhong qi" même si l'entrée dans ce Zhong Qi est antérieur à la
nouvelle Lune.
Ø L’équinoxe de printemps correspond au milieu du printemps
Ø Le solstice d’été correspond au milieu de l’été
Ø L’équinoxe d'automne correspond au milieu de l’automne
Ø Le solstice d’hiver correspond au milieu de l’hiver
Le cycle
sexagésimal
Pour les chinois, le temps est un phénomène cyclique et non linéaire comme en occident. Le temps
repasse, de même que les jours succèdent aux nuits, de même que les saisons
reviennent. En chine, le temps ne se perd pas. Plus exactement il représente un
cycle qui se renouvelle tous les 60 ans.
L'origine
du cycle sexagésimal provient vraisemblablement de l'observation de la planète
Saturne, qui effectue sa révolution complète en 29 ans et 167 jours, soit près
de 30 ans; et les conjonctions Saturne Jupiter ont lieu tous les 59,6 ans, à
rapprocher du cycle de 60 ans du calendrier chinois.
Ce
cycle de 60 ans, nommé en chinois Gān Zhī Jì Fǎ 干支技 s'obtient en combinant les
10 tiges ou troncs célestes ( 干Gān = 一yī 1 ,
十shí10 )
et les 12 branches terrestres Zhī 支. Cette notation resta
en usage dans la vie quotidienne jusque très récemment, en parallèle avec celle
des ères ou règnes impériaux. Ce calendrier sexagésimal est encore utilisé encore de nos jours en
astrologie chinoise.
L'union des "Gan" et des "Zhi" aide à la
prévision météorologique et à la pathologie sexagésimale ou circannuelle qui en
découle.
Les
cycles annuels des Troncs et des Branches découlent d'un cycle d'une durée de
soixante ans, qui débute au moment de l'alignement du Soleil, de la Lune, de la
Terre et de l'Étoile Polaire. Le premier cycle a démarré en 2937 avant J.C. Le
dernier cycle a commencé le 21 décembre 1983 et se terminera à la fin de 2043,
année Gui Hai.
Tels
que les décrivent les Classiques de la médecine interne, il existe de nombreux
liens entre le macrocosme et le microcosme de l'homme par l'intermédiaire des
Troncs célestes, des Branches terrestres et des Neuf Palais.
Ø Les Douze Branches terrestres relèvent de
l'énergie de l'Homme et sont représentées par les Douze Méridiens Principaux.
Elles représentent également l'ancien système chinois énergétique et spirituel
du temps, de l'espace et de la prédiction de l'avenir
Ø Les Dix Troncs célestes sont liés aux
énergies du Ciel et sont représentées chez l'homme par les aspects Yin et Yang
des Organes des Cinq Éléments (Bois, Feu, Terre, Métal et Eau). Les premier et second
Troncs correspondent à l'Élément Bois, en commençant par la Vésicule Biliaire
(Branche Yang) et le Foie (Branche Yin) ; les troisième et quatrième Troncs
correspondent à l'Élément Feu, avec l'Intestin Grêle (Branche Yang) et le Coeur
(Branche Yin) ; les cinquième et sixième Troncs correspondent à l'Élément
Terre, avec l'Estomac (Branche Yang) et la Rate (Branche Yin) ; les septième et
huitième Troncs correspondent à l'Élément Métal, avec le Gros Intestin (Branche
Yang) et les Poumons (Branche Yin) ; enfin les neuvième et dixième Troncs
correspondent à l'Élément Eau, avec la Vessie (Branche Yang) et les Reins
(Branche Yin)
Ce cycle est utilisé pour la succession des jours, des mois et des années. A chaque pas, on incrémente de un le numéro du tronc et le numéro de la branche, ce qui crée le cycle sexagésimal . 60 est le plus petit commun multiple de 10 et de 12.
Chaque année est nommée par une paire tige-branche, nommée
en chinois Jiǎ Zǐ 甲子, du nom de la première année, soit
rat de bois.
Jiǎ Zǐ est une métaphore pour signifier une vie complète.
Pour les Chinois, un cycle représentait un « siècle » dans la durée de vie d'un
homme ordinaire. On considérait que ceux qui vivaient au-delà de l'âge de
soixante ans vivaient une « seconde vie ». Lors de cette seconde vie, la
personne pouvait vivre des expériences semblables à celles de sa première vie,
mais il disposait désormais de la sagesse et de la maturité acquise pendant les
soixante années précédentes. L'individu continuait de se développer
spirituellement et se servait de sa connaissance pour le bienfait de la société
tout entière. Ce cycle de 60 ans est aussi appelé "Chu", qui correspond à deux siècles chinois (siècle chinois=30 ans).
La numérotation sexagésimale peuvent aussi être appliquée
aux mois, jours et heures, mais ce n'est de nos jours guère utilisé qu'en
astrologie pour l'établissement des horoscopes, qui s'appuient sur
les « huit caractères » (Bá Zì八字), obtenus des quatre couples
"tige céleste" - "branche terrestre" de l'année,
du mois, du jour et de l'heure de la
naissance d'une personne.
Pour l'horoscope, les tiges célestes de l'année de naissance
peuvent de plus être associées au Yin et au Yang (une tige yin et une tige Yáng
en alternance), ainsi qu'aux cinq éléments. Les douze branches peuvent être
associées chacune à un animal-signe. On ne connaît pas l'origine exacte de
la théorie des Dix Troncs célestes et des Douze Branches terrestres.
Les historiens pensent qu'il existait bien avant l'invention
des caractères chinois. Lors de fouilles archéologiques, on a découvert des
vestiges d'os oraculaires datant de la dynastie Shang (1600-1028 avant notre
ère) portant les symboles des Troncs célestes et des Branches terrestres. On sait toutefois qu'ils servaient à marquer les heures,
les jours, les années, et les cycles planétaires, aussi loin que 1500 et 2000
avant notre ère.
Le cycle sexagésimal actuel, qui couvre les années 1984 à
2044, serait le 79e selon la tradition qui attribue l'invention du système
cyclique au mythique Empereur Jaune et fait commencer le décompte en 2697 av.
J.-C. Certains astrologues l'envisagent sur une date de début plus
ancienne.
Pour la numérotation des jours et des mois,
l'usage du cycle remonte jusqu'au 13ème siècle avant J.C. sous la dynastie des
Shang ( de 1570 à 1045 av. J.-C) . Son emploi pour le décompte des années date
du début de l'ère chrétienne, période de la dynastie
Xin (1er siècle de notre ère). L'association du cycle de 60 jours avec les 5 agents apparaît pour la première fois dans le Huai Nan Zi (IIème siècle av J.C.) et en partie dans le Kuan Zi (IVème siècle av. J.C.). Le texte décrit l'année comme un cycle de 360 jours, divisé en 5 saisons associées aux agents.
La première année du cycle de soixante ans est associée à la
première Branche et au premier Tronc. La première Branche Zi correspond au Rat
; le premier Tronc Jia correspond à l'Élément Bois. Ainsi dans l'astrologie
chinoise, le cycle de soixante ans débute par l'année du Rat de Bois.
La seconde année du cycle représente la seconde Branche et
le second Tronc, et ainsi de suite. Quand on atteint la onzième Branche, il n'y
a plus de Tronc ; la onzième année correspond donc à la onzième Branche et au
premier Tronc. Le cycle continue de cette façon jusqu'à ce qu'il soit passé par
six cycles de Troncs et cinq cycles de Branches, et revenu au premier binôme
formé par la première Branche et le premier Tronc.
Certains soutiennent que le changement de Jia Zi,
donc d'animal-signe, doit se fait au début de l'année solaire (début du
printemps) et non au Nouvel An chinois comme le veut l'habitude.
La Figure ci-dessus montre ces cycles annuels.
Par exemple, 2005 est l'année du Coq de Bois, l'année suivante était sous le
signe du Chien de Feu.
Les Dix Troncs célestes sont Yang et représentent la plus haute
forme de la vitalité du Ciel .
Les Douze Branches terrestres sont Yin et représentent la
plus basse forme de la vitalité de la Terre.
Ensemble, les Dix Troncs
célestes et les Douze Branches terrestres sont l'expression
des transformations de tous les événements naturels, qui se manifestent par la
croissance, la maturité, le déclin et la mort de tous les êtres sensibles de l'Univers, ainsi que le développement et la
transformation que subissent tous les phénomènes naturels.
Le cycle se comprend mieux en notant que pour passer d'une
entrée du cycle à la suivante, on augmente de une unité chacun des deux
éléments (tige et branche) en bouclant quand on arrive à la fin de la liste.
Ainsi, si le premier élément du cycle est jiǎzǐ, le suivant
est Yǐ Chǒu, Yǐ étant la tige céleste
suivant Jiǎ et Chǒu la branche terrestre
suivant Zǐ, et ainsi de suite.
Zodiaque chinois de 1900 à 2020
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