Le Joyeux
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Sinogramme
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兑
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Pinyin
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Duì (changer, convertir,
mêler,couper).
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Image dans la nature :
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zé 泽
(marais,
étang )
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Immortel
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Lü Dongbin 吕洞宾, connu sous le nom de
"Sage avisé"
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Direction
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Ouest
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Saison
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Début
de l'Automne : Du début de l'automne 立秋 lì qiū à l'équinoxe d'automne 秋分Qiū Fēn (en 2016, du 7/08 au 22/09)
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Yin/Yang
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Yang
(le
yin prend son essor).
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Elément
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Métal
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Numérologie chinoise
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Partie du corps
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la bouche
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Méridien Curieux
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Yang Oe Mo ou Du Mai ou Vaisseau
Gouverneur
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Place dans la famille
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La Benjamine (dernière fille)
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Principaux Attributs
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Joie, légèreté, satisfaction, Aptitude
à l'expression, communication, plaisir
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Mouvement de l'énergie
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Mouvement
légèrement ascendant comme la brume.
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Animal symbolique
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le mouton (considéré
comme un animal de l'ouest ; les parties du trait brisé supérieur
représentent les cornes.);
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Code binaire (Fu Xi)
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110
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Vent
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Vent fort
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La tradition chinoise nous dit
qu'à l'automne le ciel et la terre
amorcent leur séparation. A l'inverse du printemps, qui se caractérise
par un mouvement énergétique ascendant, l'automne manifeste le déclin du yang et la naissance du yin. Après la période de saturation du Feu de l'été dans
l'expression d'un yang maximum, et grâce au pouvoir de maturation et de
transformation de l'élément Terre dans l'intersaison, l'automne déploie une
énergie plus tempérée. Après l'apogée du Yang, de la chaleur, de la
maturation végétale, vient le reflux de la sève. Le Yin commence à croître.
Les forces du ciel se retirent doucement, la lumière solaire mois ardente
teinte d'un éclat particulier les couleurs des paysages, éclat propre au
métal.
L'étang
se pare à l'automne de lambeaux de brume s'évaporant à sa surface d’où
montent les brumes. On l'associe à la Brume
parce que l'automne est le temps des pluies et des premiers brouillards,
après la période Terre de la fin de l'été.
Le rôle de l'homme au sein de
la nature est encore sous le signe de l'activité, car il doit cueillir,
récolter, trier, engranger tout ce qui lui permettra de passer l'hiver
confortablement. Mais nous récoltons ce que nous avons semé.
On le dit joyeux, car ce
trigramme est cause de plaisir. Celui de la satisfaction du devoir accompli,
celui de la cueillette des fruits après des mois de dur labeur, quand le
moment est venu de récolter ce que l'on a semé. "Le joyeux cause les joies de la récolte" dit le Yi
King. C'est pourquoi cette saison est l'occasion de nombreuses fêtes, qu'il
s'agisse d'honorer les moissons, les vendanges ou l'ouverture de la chasse.
Après tant d'efforts fournis
pendant le printemps et l'été pour qu'arrivent à maturité les semailles, pour
que la vie suive son cours le mieux possible, la saison de la récolte
(lorsqu'elle est bonne !) apporte évidemment joie et satisfaction profondes.
Ce n'est pas la joie du printemps, «le coup de tonnerre» intérieur dans
l'énergie vive du yang naissant. La fatigue est présente, le climat moins
clément. Le temps du repos n'est pas encore venu, mais l'homme peut enfin
pousser un soupir de contentement au terme de son labeur. Naît en lui un
sentiment de plaisir subtil, il se trouve en état de contemplation, telle
l'eau paisible du lac reflétant le monde extérieur. Dans ce reflet, pas de
mensonge ou de distorsion de la réalité, l'image est conforme à son modèle et, dans ce pouvoir
réfléchissant, le lac évoque la sérénité : il s'agit de voir et d'accepter
les choses telles qu'elles sont, sans projection et sans pour autant que cet
apaisement intérieur ne soit inhibiteur de l'action. Mais cette sérénité, à
la fois symbolique et concrète, que nous inspire l'atmosphère automnale, est
parfois difficile à intégrer. Si fruits et feuilles en tombant à
l'automne ne font que suivre, sans
état d'âme, un processus naturel, passant par l'âge mûr puis la mort,
peut-être n'est-ce pas la valeur poétique de cette vision qui nous touche. Le
temps passe, se déroule, les cycles s'enchaînent et nous entraînent dan le
même processus de transformation. Un certain vague à l'âme peut nous
envahir, des pensées nostalgiques et
l'incontournable bilan de notre vie passée. Mais la vie est mouvement, changement, et cet « arrêt
sur image » n'a pas lieu de se prolonger.
Même en automne, expression d'une énergie crépusculaire, le soleil se
lève tous les matins et nous aussi !
L'automne, comme chaque saison,
offre des temps forts de célébration. Les fêtes saisonnières, dans toutes les
traditions, conservent une valeur capitale dans l'achèvement d'un cycle et la
naissance d'un autre. Fête de la Saint-Vincent pour les vignerons, de la
pomme, de la châtaigne, des noix... Ces fêtes traditionnelles ne se
conçoivent pas sans musique et sans danses, auxquelles participent toutes les
générations. Les rondes, main dans la main, affirment l'identité de la
communauté, I unissent le Ciel, par le symbolisme du cercle, à la Terre, que
frappent les pieds. Lés fêtes traditionnelles tiennent toujours compte du
calendrier lunaire ou solaire, encore de la position des planètes. Le rituel
autour des objets emblématiques ou concrets de la saison (couleur, fleurs,
fruits, feu, etc.) permet à l'homme d'entrer profondément en correspondance
avec l'énergie de l'instant et de s'en nourrir à travers l'exacerbation de
tous les sens. Par la célébration des fêtes saisonnières, l'homme reconnaît
et accepte pleinement la naissance ou la mort d'un cycle, confirme par les rituels sa réceptivité aux
énergies du cosmos et de la terre.
Duì est, L’ancien
idéogramme signifie littéralement : « une cavité dans la Terre, qui retient
l’eau et rend les gens heureux ». On trouve l’image d’un marais riche en vie
! C’est l’aspect positif de l’Eau.
l’emplacement
du lac représente notre capacité à communiquer par la parole, l’écriture, la
peinture et la création sous toutes ses formes C’est un état éphémère.
Autres
symboles
: ouverture, satisfaction, bonté,
qualité de coeur, d'ouverture vers les autres
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jeudi 22 septembre 2016
Le Joyeux兌 Duì
Le Réceptif 坤 Kūn
Le
réceptif
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Sinogramme
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坤
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Pinyin
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Kūn (la Terre, principe féminin)
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Image dans la nature Naturelle
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Terre dì地(terre, le sol, endroit, lieu)
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Immortel
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He Xiangu 何仙姑, connue en tant que femme ascète
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Direction
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Sud-Ouest
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Saison
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Fin
de l'été : Du Solstice d'Eté夏至Xià Zhì
au début de l'automne立秋 lì qiū (en 2016 du 21 juin au 7 aout)
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Yin/yang
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Yin Pur, Plein pouvoir du Yin; associé
au pic d'énergie Yin.
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Elément
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Terre
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Numérologie chinoise
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2 (Wen); 8 (Fu Xi)
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Etoile
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Partie du corps
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le ventre (sert à conserver), car
c’est lui qui ingère la nourriture et qui est le siège de la Rate et de
l’Estomac.
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Méridien Curieux
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Tchrong Mo ou Yin Qiao Mai
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Glande Hormonale
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Surrénales
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Place dans la famille
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La Mère
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Propriété
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abandonné, docilité, réceptivité,
soumis.
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Image positive Qualités
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Réceptivité, disponibilité, adaptabilité,
accueil, don de soi
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Mouvement
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Mouvement descendant avec
inertie et vers l'intérieur
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Animal symbolique
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la vache
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Code binaire (Fu Xi)
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000
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Vent
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Vent maléfique
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Ce trigramme est relié à la
mère La terre, mère nourricière, distribue aux êtres humains tous les fruits
de sa chair sans compter, sans discrimination. Comme la terre mère, la mère veille
à ce que tous les êtres soient nourris. Elle est encore symboliquement
attaché au chaudron où l'on fait mijoter la
nourriture : Dans le chaudron, les choses cuisent jusqu'à maturité, la terre,
de même, est le grand creuset de la vie.
S'occuper de la nourriture, fonction
essentiellement lunaire. La lune brille de nuit;, etc
La terre permet la croissance et la maturation des végétaux,
se donne comme support pour toutes
sortes de constructions. . De même que toute vie sort de terre, les rameaux
sortent du tronc, etc..
Perméable, elle reçoit
toutes les influences extérieures de la nature qui se manifestent entre
autres par les climats (chaleur, vent, froid, pluie, sécheresse), sous
l'effet desquels elle se modifie ; la chaleur et le vent l'assèchent, la pluie ou les cours
d'eau l'humectent, le froid craquelle sa
surface. Les 3 traits yin
confèrent au trigramme de la Terre une réceptivité totale, elle représente la
capacité de donner et recevoir inconditionnellement
La terre, docile, énergie,
douce et lourde, reçoit et transforme, manifeste les énergies du Ciel.
"Les essences combinées du ciel et de la Terre font le yin et le yang.
Les essences ordonnes yin-yang font les quatre saisons et des essences
répandues des quatre saisons se font les dix mille êtres. L'homme, fruit de
l'union des souffles du Ciel et de la Terre, prend place entre ces deux pôles
en tant que récepteur-émetteur, ne pouvant survivre sans le passage incessant
des différents souffles en lui. Cette énergie, douce et lourde, est une
énergie réceptive, qui supporte l’énergie du Ciel.
Dans la pensée chinoise, la
combinaison des énergies du Ciel, yang et de la terre, yin, donne la vie. se
rencontrent, s'épousent et se fécondent au printemps, s'unissent en parfaite
harmonie en été et produisent inlassablement, puis, à l'automne, le Ciel se
retire doucement alors que la Terre continue de épanouir, et enfin, l'hiver
signe les temps de la séparation.
Réceptive à travers cet accueil
des influences célestes, elle l'est aussi sous la main de l'homme qui aménage
surface et sous-sol, pour le meilleur et pire. La Terre est fécondée par l'homme qui la laboure et
y sème les graines.
Le trigramme Kūn, placé au sud-ouest, symbolise
aussi, par cette localisation cardinale, l'été
indien, période entre l'été et
l'automne, époque à laquelle la magnificence de l'été s'expose dans toute sa
plénitude et la douceur de son déclin.
Son
animal est la vache, dont l'utilité ne fait jamais défaut : sa chair apaise
la faim, son cuir protège du froid, son lait étanche la soif et sa force est
utile au labour des champsLa vache sont des symboles de fécondité)
Par sa place dans la famille et
toute sa symbolique liée à :Terre-Mère, il représente souvent le mouvement de l’abandon du "
don de soi " La terre s'abandonne
dans le sens où elle est entièrement Yin, passive, d'où le surnom de
"réceptif".
Du point de vue symbolique, la
terre supporte la vie comme une étoffe, un vêtement.
Le trigramme Terre représente l'économie,
car la nature est économie. Il
symbolise l'égalité, car la Terre n'a ni
préférence, ni répulsion, comme une bonne mère vis à vis de chacun de ses
enfants,
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Le Bagua, modèle mathématique de l'univers
Le diagramme est également considéré comme un modèle
mathématique de l'univers et de l'est largement reconnu comme l'un des plus
anciens symboles, remontant à l'aube de la civilisation chinoise.
Leibnitz a reconnu que les figures du Livre des Mutations,
basées sur les diverses combinaisons de deux éléments - - et — lui suggérèrent
le système de calcul binaire (système dyadique) basé sur deux éléments comme 0
et 1.
En appliquant ce système de calcul aux huit trigrammes
on peut démontrer mathématiquement quel est l'ordre abstrait de croissance On
symbolise les Iignes Yin par 0 et les lignes Yang par 1 On commence ainsi avec
trois 0 représentant le trigramme purement Yin et ensuite à chaque fois on
ajoute 1 (1+1 étant un maximum équivaut à 10. On obtient ainsi de façon
certaine l'ordre de croissance du Yang. L' opération donne les résultats
suivants
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000
|
001
|
010
|
011
|
100
|
101
|
110
|
|
±1
|
±1
|
±1
|
±1
|
±1
|
±1
|
±1
|
000
|
001
|
010
|
011
|
100
|
101
|
110
|
111
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☷
|
☶
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☵
|
☴
|
☳
|
☲
|
☱
|
☰
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vendredi 2 septembre 2016
MC8 Lao Gong / Láo Gōng 劳宫 Palais du labeur
Etymologie
勞, 劳, Láo:
fatigue, peine, mérite,
exploit, travailler, prendre la peine de, récompenser;
travailler à la lumière, la nuit, peiner, se fatiguer d’une manière
extraordinaire (Wieger 126)
宫, Gōng: palais, temple; 吕Plusieurs appartements sous un même toit宀toit
terme réservé pour le palais impérial depuis les Qin (Wieger 90
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